Comment j'ai réalisé que j'allais pouvoir tirer parti de Laëtitia.

Quand elle venue vivre avec nous (elle avait 30 ans) Laëtitia ou Titi comme on l'appelle était une belle plante et pas farouche. Titi, c'est la fille qui a sucé à 12 ans, couché à 14 et s'est fait enculer à 15. La fille a qui le prof de sport fait visiter les vestiaires pendant que les autres font des longueurs autour du stade. L'embellie des pères quadra de ses copines. Bref, voyez le genre. De plus, elle sortait d'un séjour en clinique psychiatrique (où la moitié des infirmiers avaient dû la baiser) et se trouvait assez peu en position de force morale. Je suis un salaud, un profiteur? Non! C'est elle, la salope, vous allez voir. Je baisais plus sa truffe de mère depuis un moment et je matais pas de porno, notamment sur le câble. Elle n'avait pas été sans le remarquer. Un soir, assez tard, sa mère partie au pieu, elle resta plus longtemps que d'habitude, avec son petit ensemble en dentelle noire qui lui sert de pyjama. A deux mètres de moi. Moi, j'attendais pour envoyer le porno et me branler. Au bout, d'une bonne 1/2 heure, n'y tenant plus, je lui demandais si je pouvais mettre des films cochons. Elle rit, pris elle-même la télécommande et envoya la chaîne. En gros plan, une magnifique double. A moité fou de désir, je baissais mon short et me mis a me branler sans plus me préoccuper du reste. Fallait que je gicle. Et bien, pour vous la faire courte, trois ou quatre minutes après, pas plus, je la sodomiser à fond pendant qu'elle souriat en se tripotant le clito. Du papier de soie à 40°, son anus. J'ai pas tenu longtemps, j'avoue et j'ai joui comme jamais de ma vie, peut-être. Et après, elle ma nettoyé la queue, calmement. Et tout ça, en sachant que la salope s'était faite baiser par les 2 marocos du 6ème dans l'après-midi. Ce qui n'était un secret pour personne dans l'immeuble. Et après ça, vous auriez voulu que je me gêne? Nous prîmes nos habitudes et quasi tous les soirs (à part quand mademoiselle allait baiser dehors) c'était la fête!!! Et puis, il y a eu surtout ses confidences sur ses expériences. Exagérées ou pas, jamais je n'aurais pensé qu'une femme pouvait être aussi dépravée. Alors quand Pôle-Emploi, lui a coupé la moitié de ses ressources, j'ai vite percuté. La prostituer? Non, hors de question. Mais la faire baiser comme une grosse salope qu'elle est, elle qui adore ça, et en tirer quelques menus profits, pourquoi pas. Photos, vidéos, etc... J'en ai à revendre et croyez-moi c'est du bandant!!! Mon e-mail pour le contact...